Mes nuits sans sommeil
http://poitou-charentes.france3.fr/emissions/enquetes-de-regions-sud-ouest
Par choix ou par nécessité, des femmes et des hommes ne passent pas leurs nuits à dormir.
Noctambules … oui mais pour travailler !
Les rédactions se penchent sur ces « drôles de vies ».
On sait que le débat est vif sur ce thème avec une opposition forte entre syndicats et patronat. Mais au-delà des prises de position des uns et des autres, nous avons voulu nous intéresser à toutes ces familles qui doivent composer avec des horaires décalés. Que l’on soit urgentiste ou livreur, comment s’organise-t-on pour mener une vie sociale et familiale en travaillant la nuit ?
Florian Ringuedé a passé plusieurs nuits dans le MIN de Toulouse pour filmer et interviewer ces hommes dont le travail alimente les restaurants et cantines scolaires. Un lieu unique, avec une activité 24h/24.
Nous serons aussi en immersion dans la vie d’un couple de Limoges. Elle est médecin urgentiste, lui infirmier et ils décrivent l’organisation mise en place pour palier aux difficultés de leurs métiers et maintenir une vie familiale.
A Montpellier, nous suivrons le calvaire de certains patients atteints par des symptômes de la maladie du sommeil. Un centre spécialisé soigne ces femmes et ces hommes pour qui dormir est devenu un calvaire. Mais certains traitements permettent maintenant de leur redonner une vie normale.
Bordeaux se distingue par une initiative originale en installant un bus , le "Somnambus" à la sortie des boîtes de nuit qui drainent des fêtards parfois très alcoolisés. Un dispositif utile pour éviter les noyades à répétition qui ont émaillé la vie nocturne de la ville depuis plusieurs années.
Enfin, Nous irons traîner sur les quais du port de commerce de La Rochelle à la rencontre de marins, pêcheurs et pilotes de port qui travaillent la nuit.
http://poitou-charentes.france3.fr/emissions/enquetes-de-regions-sud-ouest
Par choix ou par nécessité, des femmes et des hommes ne passent pas leurs nuits à dormir.
Noctambules … oui mais pour travailler !
Les rédactions se penchent sur ces « drôles de vies ».
On sait que le débat est vif sur ce thème avec une opposition forte entre syndicats et patronat. Mais au-delà des prises de position des uns et des autres, nous avons voulu nous intéresser à toutes ces familles qui doivent composer avec des horaires décalés. Que l’on soit urgentiste ou livreur, comment s’organise-t-on pour mener une vie sociale et familiale en travaillant la nuit ?
Florian Ringuedé a passé plusieurs nuits dans le MIN de Toulouse pour filmer et interviewer ces hommes dont le travail alimente les restaurants et cantines scolaires. Un lieu unique, avec une activité 24h/24.
Nous serons aussi en immersion dans la vie d’un couple de Limoges. Elle est médecin urgentiste, lui infirmier et ils décrivent l’organisation mise en place pour palier aux difficultés de leurs métiers et maintenir une vie familiale.
A Montpellier, nous suivrons le calvaire de certains patients atteints par des symptômes de la maladie du sommeil. Un centre spécialisé soigne ces femmes et ces hommes pour qui dormir est devenu un calvaire. Mais certains traitements permettent maintenant de leur redonner une vie normale.
Bordeaux se distingue par une initiative originale en installant un bus , le "Somnambus" à la sortie des boîtes de nuit qui drainent des fêtards parfois très alcoolisés. Un dispositif utile pour éviter les noyades à répétition qui ont émaillé la vie nocturne de la ville depuis plusieurs années.
Enfin, Nous irons traîner sur les quais du port de commerce de La Rochelle à la rencontre de marins, pêcheurs et pilotes de port qui travaillent la nuit.
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